L’aigle, c’est un oiseau vraiment formidable. C’est la raison pour laquelle Dieu l’a comparé à son Eglise. Vous êtes une chandelle située sur une montagne. C’est vrai. De grandes ambitions, de grandes attentes, nous nous attendons à de grandes choses. Je m’attends à des choses plus grandes. J’ai l’ambition de continuer à avancer jusqu’à ce que je Le rencontre : plus haut, plus haut ; plus haut, plus haut, plus haut. C’est vrai. Je continue simplement de monter très haut : de grandes ambitions, de grandes attentes, des ambitions. Les ambitions, faire quelque chose. Les attentes d’un homme qui a déjà marché dans la vérité pour voir la vérité.
Observons-le pendant qu’il construit son nid. Il est en train de construire son église, vous savez, là-haut au sommet de la colline, et il la fixe très bien. Il prend premièrement de très grosses brindilles et les place juste dans les creux comme ça, il bâtit cela tout autour afin qu’aucun vent n’abîme cela.
Ensuite, il part et ramène des plantes grimpantes épineuses et recouvre tout autour sans arrêt, puis les attache dedans. Maintenant, ce nid est plein d’épines. Vous ne voulez pas que vos nouveaux convertis sachent qu’il y a toutes ces épines dans cette chose, vous savez, comment vous avez dû combattre pour en arriver là. Mais savez-vous ce que fait l’aigle? Il va là et matelasse ce nid. Vous devriez le voir. Cette vieille mère aigle ira prendre une peau de lapin, elle mangera le lapin, puis prendra la peau et la fourrera ainsi dans chaque petite fissure, pour en faire un petit endroit duveteux, oh! le plus beau petit nid douillet où naîtront ses petits.
C’est ce que Papa Aigle pense de ses petits, alors qu’il se pavane. Il leur lance un cri ; ils lui lancent un cri en retour. Il dit : C’est ça. Je suis celui qui était. Amen, Papa. Je suis celui qui est. Amen, Papa. Je suis celui qui vient. Amen, Papa. Je suis le même hier, aujourd’hui et éternellement. Amen, Papa. Je suis toujours celui qui guérit. Amen, Papa. Je donne toujours le Saint-Esprit. Amen, Papa. Je suis le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Amen, Papa. Amen. Le vieux petit corbeau fait : Coa, coa, coa. Toi, petite buse, pourquoi fais-tu ces croassements? Sors du nid. Toi, petit vautour, tu ne saurais pas manger la nourriture de l’aigle, de toute façon. C’est vrai. Oh! la la! Alors, la première chose, vous savez, il constate qu’ils sont de beaux petits aigles, il fait des va-et-vient. Et, la première chose, vous savez, c’est que maman est décidée pour que ses petits aigles ne soient pas comme la poule, attachée à la terre.
Ils ne vont pas tout le temps marcher là-dessus : elle va leur donner quelques petits tests pour voir comment ils vont s’en sortir. Chaque fils qui vient à Dieu doit être châtié, éprouvé. Et quand il recule, il dit : Non, je devrais… Oh, eh bien, vous n’étiez pas un fils au départ. Si vous ne pouvez pas supporter le châtiment, alors la Bible dit que vous devenez un bâtard, et non un fils de Dieu. C’est donc ainsi qu’on les élimine.
Aussi cette mère a-t-elle résolu de ne pas faire de ses petits aigles juste des poulets dénominationnels. Mon Dieu, non! Elle a résolu cela. Elle doit alors les faire sortir de ce nid. Lorsque tout marche correctement, elle doit leur donner un test. Savez-vous donc ce qu’elle fait? Elle entre là-dedans et elle ouvre son large bec (elle et papa), et elle jette toute cette garniture dehors. Alors, ça devient dur (Oh! la la!), comme après la Pentecôte. Les persécutions s’élevèrent et tout, vous savez. Chaque fois que le petit aigle essaie de s’asseoir, il sursaute là. Il s’est posé sur une épine. Avez-vous déjà fait cette expérience? Où que vous alliez, des épines. Je ne veux pas m’accommoder du monde. Ne cherchez pas à vous adapter (Non, non), et à marcher sur des choses douces. Oh! la la! Alors là, ils se trouveront dans une situation difficile.
Ensuite, la première chose, quand elle a tout enlevé, elle doit alors les amener à croire en elle. Alors, elle étend ses très grandes ailes et elle crie très fort. Elle souffle sur eux comme cela, ce vent impétueux, vous savez, qui descend. Oh! la la! Et les petits aigles tombent simplement à la renverse. Ils ne regardent pas dehors et ne disent pas : «Voyons ce que Dr Untel a dit à ce sujet.» Non, non. Ils lèvent les yeux. Oh! et ils voient ces très puissantes ailes. Voyez-vous ce qu’elle essaye de faire? Elle cherche à amener ces petits aiglons à comprendre combien elle est grande, la puissance. Il faut qu’il ait confiance en ces grandes ailes. C’est ce que Dieu fait.
Il fait partir toutes les plumes de vous en soufflant dessus. Il a donc deux ailes, Dieu en a deux ; vous savez, ce Jéhovah Aigle… C’est le Nouveau et l’Ancien Testaments. Il bat les ailes devant vous. Oh! la la! « Je suis le Dieu de Moïse. Je suis le Dieu d’Abraham. Je suis le Dieu qui ressuscita Lazare de la tombe. Je suis Celui qui était mort et Je suis encore vivant, Je vis aux siècles des siècles. » Le Nouveau et l’Ancien Testaments, battant les ailes en faisant des va-et-vient, les petits aigles sont étendus là sur le dos, et disent : «Que Tu es grand! Que Tu es grand…» «Faites-Moi confiance.» Que Tu es grand! Que Tu es grand! Observez le Dieu de Moïse, Celui qui ouvrit la mer Rouge, qui garda les enfants hébreux dans la fournaise ardente, qui fit sortir Daniel de la fosse aux lions, et Lazare de la tombe. «J’ai le pouvoir…» Dieu L’a ressuscité ; c’est vrai. Mais Il a dit : «J’ai le pouvoir de donner Ma vie. J’ai le pouvoir de la reprendre.» Amen.
Que Tu es grand! «Faites-Moi confiance, Je suis le même hier, aujourd’hui et pour toujours.» Que Tu es grand! Que Tu es grand! Il éveille la couvée (mais bien sûr), l’apprêtant… Puis un jour, elle décide… C’est un beau jour bleu. Ainsi, elle se résout à amener ses petits aiglons effectuer leur premier vol. Ils ont déjà lu toute leur Bible et ils ont vu combien elle est grande. Elle est toujours la même comme elle l’a toujours été, avec ses grandes ailes, ses grandes plumes. Elle est équipée pour prendre soin de ses petits. Ainsi, elle étend ses ailes, et se penche en arrière comme cela et dit : «Montez d’un bon, mes petits.» Oh, je suis si heureux que vous ne sautiez pas sur un credo. Montez jusqu’à la croix.
61-0122 – Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée #43, 58, 63, 66-73
Rév. William Marrion Branham