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Ce dont nous avons besoin, c’est du Saint-Esprit à l’ancienne mode !

À partir de ce début 2023, nous allons partager avec vous des méditations sur le Saint-Esprit. C’est la chose la plus importante pour la vie Chrétienne. C’est le Sceau d’approbation de Dieu indiquant l’agréement de notre foi en Dieu. Dans la première partie, nous allons essayer de vous présenter la raison pour laquelle il nous faut recevoir le Saint-Esprit obligatoirement.

Peniel Tabernacle by Peniel Tabernacle
03/01/2023
in Méditation
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Ce dont nous avons besoin, c’est du Saint-Esprit à l’ancienne mode !

Mon frère, s’il y a jamais eu un drôle de sentiment parmi les nations, c’est ce soir!. Quelque chose est sur le point d’arriver. Alléluia! C’est encore le cantique : “Quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous.” Père, vous feriez mieux de regarder sur la porte ce soir, de vérifier. Débarrassez votre frigidaire de ces canettes de bière, jetez ce jeu de cartes par la porte, et organisez une réunion de prière dans votre maison. Vous pourriez être un diacre, vous pourriez être un administrateur, vous pourriez être ceci ou cela, mais regardez, ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un réveil à l’ancienne mode, envoyé de Dieu, provoqué par le Saint-Esprit, et qui redresse la nation. C’est vrai.

Savez-vous ce qui cloche dans l’église aujourd’hui, mes frères? Je crois que l’église est devenue anémique, elle a perdu du – du sang. Si par exemple j’étais un médecin, et qu’un homme grand, mesurant 1,80 m venait vers moi et disait : “Dites donc, docteur, je – je – je suis si faible que je ne sais me lever, je ne fais que chanceler.”

Je demanderais : “Qu’y a-t-il?”
– Bien, je ne sais pas. Je me sens très faible.

Je dirais : “Bon, voyons, est-ce que certains problèmes d’ordre physique…?”
– Oui, c’est cela.

Et je demanderais : “Bien, quand avez-vous pris votre dernier repas?”
– Eh bien…
– Vous pesez environ quatre-vingts kilos.
– J’ai mangé un demi-biscuit avant hier.

Je dirais alors : “Mais, mon ami, vous êtes juste en train de mourir de faim! Allez prendre un bon repas et vous ne serez plus si faible.”

Et c’est ce qui cloche dans l’église aujourd’hui. Nous sommes nombreux, mais, mon frère, nous mourons de faim! Alléluia! Vous avez peur que le voisin dise quelque chose. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne secousse du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Alléluia! Les deux mains en l’air, dites : “Seigneur, nourris-moi!” La boucle et l’armure sur nous, nous continuons à marcher.

C’est ce qui cloche dans l’expérience de beaucoup de personnes. Vous dites : “Bien, frère, autrefois j’avais la joie.” Vous avez essayé d’emmagasiner quelque chose. Frère, ce que j’ai eu hier soir est terminé. Ce que j’ai maintenant… Alléluia! Amen. Les expériences de certaines personnes sont comme des citernes crevassées, vous savez. C’est vrai. Prenons un nouveau steak chaque soir, faisons un nouveau pas chaque soir. Et cela représentait… C’est tout à fait la vérité, mon frère, c’est vrai. Ce dont nous avons besoin, c’est du Saint-Esprit à l’ancienne mode…

Oh, nous avons beaucoup d’églises, oh! la la! de bons membres, oh! beaucoup d’argent dans les églises aujourd’hui, c’est sûr, autant que vous en voulez, pour faire fonctionner l’église. Nous avons tout cela mais nous n’avons pas de Feu.

Imaginez que vous descendez à l’usine de voitures et que vous construisez là une belle grande série de locomotives, et vous prenez un homme bien formé qui sait comment la mettre en marche, vous l’installez sur un siège en peluche, ainsi que tous ceux qui sont à l’intérieur, et vous dites : “Bien, partons!” Vous poussez et poussez, et il n’y a rien qui démarre. Cet homme lèverait la main et dirait : “Actionnez plutôt le sifflet.” Mais il n’a même pas assez de vapeur pour siffler. C’est vrai!

Beaucoup de personnes n’ont même pas assez de vapeur pour dire “Amen!” Vous pouvez avoir cela gratuitement. Oh, alléluia! Ce dont nous avons besoin ce soir… Écoutez, la civilisation est venue par le feu, faites marche arrière et vous verrez que les tribus faisaient usage du feu; le feu repasse mes vêtements, le feu donne la lumière, le feu cuit mon dîner, chaque chose vient par le feu. Si vous vivez dans une civilisation moderne, vous vivez par le feu! Si vous vivez dans la Présence divine de Dieu, vous êtes baptisé du Saint-Esprit et de Feu! Alléluia! C’est vrai.

Mettez-y un peu de vapeur, frère, dans cette vieille petite chaudière qui chauffe, fait un bruit sec, vibre et glougloute. Vous savez, pour commencer, actionnez le sifflet, et la voilà partie sur la voie ferrée. C’est juste. C’est ce dont nous avons besoin.

Ça me rappelle une fois où mon frère et moi, nous étions là-haut à Lancassange Creek; nous marchions et il y avait une vieille tortue. C’était la chose la plus amusante à voir, elle lançait ses pattes en marchant.

L’autre jour, j’en ai donné deux d’à peu près cette taille à ma petite fille. Et aujourd’hui, j’étais là à regarder ces petits amis, et je riais. Elle essayait de se frotter la tête avec la patte comme ceci. Je la regardais. Et aussitôt qu’on la touche, ou que quelque chose la touche, elle fait “shhh”, et rentre vite dans sa carapace.

Il en est de même pour certaines de ces vieilles religions froides et formalistes qu’on a aujourd’hui. “Je ne retournerai plus à ce réveil, shhh! Je fais partie des presbytériens, des méthodistes, des luthériens, je fais partie de ceci. Alléluia. Il n’est pas d’accord avec moi, je – je retourne dans ma carapace!” Continuez! Oh, cette vieille religion de tortue enfermée dans…

J’ai dit : “Je vais lui donner une bonne leçon”, et je l’ai amenée au ruisseau. D’abord, j’ai pris un bâton, j’ai essayé de la taper, cela ne donna rien de bon. Cela ne donnait absolument rien de bon, elle était seulement étendue là. Et je l’ai fouettée aussi fort que possible, elle restait simplement étendue là. (Vous ne pouvez pas faire pénétrer la chose en eux en frappant, pas du tout! Non, pas la peine d’essayer, de les menacer et autre.) Je l’ai amenée là et j’ai dit : “Je vais lui donner une bonne leçon”, je l’ai plongée dans l’eau : il en montait simplement quelques bulles et, elle est restée exactement dans la même position.

Eh bien, vous pouvez les asperger, leur verser de l’eau dessus, en arrière, en avant, tout ce que vous voulez, ils entrent dans l’eau pécheurs secs, et ils en sortent pécheurs mouillés. Ils demeurent des pécheurs.

Vous savez comment je l’ai amenée à bouger? Je suis allé chercher quelques brindilles, j’ai allumé un petit feu et j’y ai mis le vieil ami. Elle a alors bougé, mon frère!

Je vous le dis, ce dont l’église a besoin aujourd’hui, c’est d’un Feu du Saint-Esprit à l’ancienne mode, allumé sous elle! Gloire à Dieu! C’est ce dont nous avons besoin. C’est le feu qui fera bouger l’église, et rien d’autre. C’est vrai. Oui, monsieur.

Bien, c’était un type, un type merveilleux. Oui, monsieur. Cela représentait quelque chose, lorsque cette manne tombait, cela signifiait… Dieu la leur donna après qu’ils eurent traversé la mer Rouge (type du Sang), et que les chefs de corvées furent morts. Dieu devait les maintenir en vie. Et Il devait leur donner quelque chose, étant donné qu’ils avaient quitté leur patrie et qu’ils étaient dans le désert. Ils étaient des pèlerins là-bas. Ils étaient en voyage, et Dieu devait les maintenir en vie, ainsi, Il promit qu’Il pourvoirait à chacun de leurs besoins. Ainsi Il le fit, Il fit tomber de la manne. Quel type merveilleux!

Et le Jour de la Pentecôte, lorsque cette Église fut inaugurée, l’Église du Saint-Esprit, ils se séparèrent de toutes les autres églises, et de toute autre chose, pour sortir et recevoir le baptême du Saint-Esprit. Et ils attendaient là : “Qu’allons-nous faire? Notre Maître est parti au Ciel, mais Il nous a dit d’attendre un peu ici, simplement de nous tenir ici un petit moment; Il doit nous envoyer Quelque Chose qui nous donnera la force de continuer.” Oh, j’ai tellement faim”, dit Pierre, “faim de Le voir.”

Jean dit : “Oh, Pierre, que ferais-tu pour Le voir?”

“Oh! la la! Oh, je suis désolé de L’avoir renié là-bas. Je ne le ferai plus jamais.” Alors, tout-à-coup, du Ciel vint un bruit comme celui d’un vent impétueux, qui descendit.

Ce ne fut pas une quelconque femme, un homme avec son col retourné dans le dos qui monta leur donner du pain sans levain, ou une espèce de communion. Pas un prédicateur protestant disant : “Je vous donne la main d’association, permettez-moi de vous mettre six mois à l’essai. Qu’on mette son nom dans le livre.” Non, non. Eh bien, c’est de cette façon que nous agissons aujourd’hui.

Mais, frère, je vous le dis, ce fut comme le bruit d’un vent impétueux, venu du Ciel, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Alléluia! Frère, le bâtiment ne fut pas assez grand pour les contenir. Ils allèrent dans les rues, chantant, sautant, dansant.

Une minute, sœur, la vierge Marie était là aussi. Oui, elle y était, se comportant comme si elle était ivre. Pouvez-vous imaginer cela, la vierge Marie? Pouvez-vous imaginer que l’on dise cela dans une Église catholique, méthodiste, baptiste, presbytérienne, ou quelque part ailleurs? La vierge Marie se trouvait sous l’influence du Saint-Esprit, chancelant comme quelqu’un d’ivre. Et si Dieu amena la mère de Jésus-Christ à monter recevoir le baptême du Saint-Esprit pour pouvoir aller au Ciel, vous n’irez jamais là-bas avec quelque chose de moins. Vous feriez mieux d’enlever l’amidon de vos cols et de venir. C’est vrai.

53-0327e – Israël à la Mer Rouge, 2ème partie #93, 123-124, 158-175
Rév. William Marrion Branham

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