Parmi toutes les dénominations, c’est fini. Il n’y a rien à faire sinon crier contre ce qui est faux. Amen. Cela veut dire Ainsi soit-il. Et c’est vrai. Exact. « Un grand Rocher dans une terre desséchée, un Abri en temps d’orage. » Oh ! je suis si content, qu’il ait vu en cela un grand Rocher dans une terre desséchée.
Oh ! Je me rappelle, il n’y a pas longtemps, je lisais un livre sur un aigle, une espèce d’aigle. Je pense qu’il est dans… là en Orient. Et je–j’ai prêché ici il y a quelques temps là-dessus : Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée. Alors, je lisais sur les aigles, et j’ai découvert qu’il y a quarante différentes espèces d’aigles.
Mais cette espèce d’aigle… La Bible dit que l’aigle renouvelle sa jeunesse, renouvelle sa force ; nous prenons l’envol comme l’aigle, et ainsi de suite. Et cet aigle-là, quand il commence à vieillir, il sait qu’il va mourir très bientôt. Il y a une croûte qui apparaît sur la tête. Il est chauve, vous savez.
Et c’est pourquoi Dieu s’est identifié à un aigle. Il compare Ses enfants aux aigles. En effet, c’est un oiseau qui s’élève le plus haut possible, il peut monter plus haut que n’importe quel oiseau qui existe. Son œil est très perçant. Ça ne lui servirait à rien de monter là-haut s’il ne voyait pas ce qui se passe ici en bas, il voit très loin. Il a comparé Son prophète aux aigles qui peuvent s’élever comme cela, regarder au loin et voir des événements à venir, redescendre et annoncer aux gens ce qui est sur le point d’arriver : l’aigle.
Et ce genre de drôle d’aigle, lorsqu’il commence à vieillir, il trouve… Alors, il monte haut dans un creux de rocher, il trouve un certain roc. Il monte là. Il se fait tellement vieux qu’il arrive à peine à marcher. Cette croûte qui est sur la tête va le tuer.
Il prend sa tête et se met à la cogner contre ce rocher, il la cogne contre le rocher jusqu’à ce qu’il détache cette croûte de la tête à force de cogner. Oh ! cela lui fait mal. Vous pouvez le voir tomber là-haut. Il fait un bond en arrière (Je l’ai vu avec des jumelles), il va de nouveau donner un coup de tête. Que cherche-t-il à faire ? Ôter cette croûte à force de cogner. Il va saigner, et le sang va couler sur tout son corps jusqu’à ce qu’il détache cette croûte à force de cogner.
Et s’il n’arrive pas à détacher cette croûte à force de cogner, il meurt. Mais s’il arrive à la détacher à force de cogner, il se mettra à se réjouir et à pousser des cris. Vous pouvez l’entendre, poussant simplement des cris sur des kilomètres. Pourquoi ? Il sait qu’il s’est dégagé de toute la croûte. Il sait qu’il va rajeunir pour s’être débarrassé de la croûte. C’est merveilleux. J’apprécie cela pour l’aigle.
Mais, frère, je connais un Rocher. Amen ! Je connais un Rocher contre lequel le pécheur fatigué peut cogner sa… non pas sa tête, mais se cogner dans la prière jusqu’à ce que toute la croûte du monde se détache de lui, toute l’incrédulité, et que les chaînes soient brisées. Et cet homme peut se cogner dans la prière jusqu’à ce que chaque chaîne du péché se détache de lui.
Je sais là où les prostituées peuvent cogner jusqu’à devenir des dames. Je sais là où les ivrognes et les joueurs des jeux d’argent peuvent cogner jusqu’à devenir des saints de Dieu, des hommes de Dieu. Je connais un Rocher. Ce Rocher est Jésus-Christ, notre Refuge. Et aussitôt que vous vous débarrassez de toute la mondanité, vous renouvelez votre jeunesse.
62-0518 – Laisser échapper la pression #74-76
Rév. William Marrion Branham